Isabelle Nogaro, Première Adjointe au Maire de Tarnos

Comme une mission accomplie, André nous quitte au soir de l'inauguration du Pôle Territorial de l’Économie Sociale et Solidaire à Tarnos ; lui qui fut l'artisan profondément convaincu, initiateur du Comité Local de l'Emploi !

Moi-même élue aujourd'hui, je rends un hommage sincère et respectueux à vous André qui avait, jusqu'au bout, porté haut et fort vos engagements, vos valeurs au service de l'Homme, de la Ville de Tarnos, jusqu'à l'ONU. Que votre modèle de combattant à ne rien lâcher et à construire l'avenir continue à éclairer notre chemin.
A votre famille, vos amis, je présente mes sincères condoléances.

Yann Bouvier, Directeur général des services de Tarnos

Au nom de l'ensemble de mes collègues, actuels et anciens, je salue la mémoire d'un homme qui aura puissamment contribué à ce que sont aujourd'hui les services publics locaux tarnosiens.

Michel Sanchez, ANACR (Association Nationale des Anciens Combattants et Résistants)

André Maye, ouvrier professionnel à l'usine des Forges de l'Adour, y était entré à l'âge de 13 ans. C'est assez jeune qu'il adhéra à la CGT et devint un militant actif.
Délégué CGT au Comité d'Établissement, avec ses camarades syndicaux, il se battit incessamment, pendant plus d'une décennie, contre la fermeture de l'usine qui était annoncée.

Le combat des syndicalistes, dont André en était l'animateur principal et acteur, par leurs actions, s'élargit au fur et à mesure dans toute la population du bas-Adour, laquelle prit part à ce combat, avec l'appui de tous les élus politiques locaux confondus qui s'y étaient également impliqués. Ce grand combat ne permit pas de maintenir l'usine en l'état, mais, obligea les pouvoirs publics à trouver une solution pour une reconversion des salariés. Sous la pression de toute la population, des syndicalistes et politiques, la reconversion des Forges de l'Adour eut effectivement lieu par la création d'une zone industrielle.

Lorsque l'usine ferma ses portes en juillet 1965, la zone industrielle était créée et des entreprises nouvelles avaient ouvert leurs portes aux ex-salariés des Forges.
Aujourd'hui, cette zone existe encore comportant des milliers d'emplois.

Jusqu'à ce jour, André resta adhérent à la CGT, au syndicat des Retraités, également adhérent au PCF dans lequel il s'y était aussi fortement engagé au travers de l'action municipale, et, à l'association "ANACR et Amis de la Résistance". Sa vie fut un perpétuel combat pour la libération de l'être humain de l'exploitation capitaliste et pour son émancipation.

Alain Da Silva, ancien Adjoint au Maire de Boucau

Avec la disparition d’André Maye, à Tarnos, c’est plus qu’une page de l’histoire des luttes des travailleurs, c’est une page de l’histoire des luttes des plus humbles, qui termine le chapitre d’une génération qui a douloureusement souffert dans sa chair. Un type de militant hors du commun, dont la franchise ne plaisait pas à tout le monde.

Simple, modeste, courageux en même temps que sensible, généreux et profondément convaincu de la justesse de la cause qu’il défendait, cause qu’il devait servir durant tant d’années.
Homme tourné vers les autres, dont la seule ambition était d’accomplir le plus honnêtement, le plus consciencieusement qu’il pouvait, sa tâche au service de la justice, de l’amitié et de son idéal de fraternité entre tous. Ces valeurs si souvent ignorées de nos jours, regagnent en force dès que l’on fait revivre pour les jeunes le souvenir d’hommes qui les ont si magnifiquement incarnées. André Maye a été l’un d’eux.

Plus que toute autre chose, il aurait sans doute souhaité que l’exemple de son engagement et de son dévouement serve encore après lui. C’est à cela que répond très justement la volonté de celles et ceux qui furent ses amis et ses compagnons de lutte, de ne pas laisser s’effacer des mémoires, la grande figure qu’il a été.
Merci André.

Pierre Gensous, ancien Secrétaire de la Fédération des métaux CGT, ancien membre du bureau confédéral de la CGT, ancien Secrétaire Général de la Fédération Syndicale Mondiale (FSM)

André,
Mon vieux camarade, mon compagnon de lutte, tu nous quittes et le combat, ton combat, notre combat n'est pas terminé.
Nous allons le continuer, forts de l'exemple de ta vie.
Hasta la victoria.

Famille Bénesse

On ne peut avoir que du respect pour un homme qui a su mener des luttes ouvrières qui ont abouties aux victoires.

Albert et Marie-Hélène Maton, Boucau

En souvenir de nombreuses rencontres et discussions âpres, viriles, mais toujours correctes.
Sincères condoléances à toute la famille.

M. et Mme Jean Latapy, Boucau

J'ai cotoyé "Dédé" aux Forges de l'Adour de 1958 à 1964. Il était notre leader contre la fermeture des Forges et dans la reconversion qui perdure.
Merci pour son dévouement à la cause ouvrière et humaine.

Famille Dolhats, Tarnos

Pour tous les moments partagés avec André. Nous garderons un excellent souvenir. Un grand merci pour les transformations apportées à Tarnos durant ses mandats.

Famille Barroso, Tarnos

Merci pour tout ce que tu as apporté à Tarnos

Laure Baud, au nom du Syndicat Intercommunal d'Adduction d'Eau Potable de Tarnos, Boucau, Ondres, Saint-Martin de Seignanx

Merci à M. Maye d'avoir toujours su porter les valeurs d'un service public fort au service de l'humain et du développement du territoire.
Bonne route M. Maye. Combattant acharné, fier et mobilisateur tout au long de sa vie. C'est une fierté que d'avoir pu échanger, bien que trop rarement avec lui.

Familles Duran et Daramy

Nous perdons un ami. Nous gardons un exemple.
 
André et Danielle Dupreuihl, Tarnos

Merci d'avoir passé une grande partie de ta vie au service des Ouvriers et des Tarnosiens.

Mme I. Miremont

Pour André Maye. Merci d'avoir partagé la vie des Hommes, merci pour tout ce que vous avez donné autour de vous, merci tout simplement pour votre vie. A nous de continuer le combat !
Une des deux « petites »

Geneviève Champagne

André Maye était quelqu'un qui, comme dit Saint-Paul, « n'a pas vécu pour lui-même ». Il savait donner de son temps sans compter.
Je garde toujours le souvenir des discussion animées qu'il avec avec sa « petite gauchiste » après les séance du Conseil Général à Mont-de-Marsan. Et je retiendrai surtout l'écoute respectueuse qu'il avait malgré nos différences syndicales, politiques ou religieuses.
Encore merci pour tout ce que vous avez réalisé, M. Maye, même si vous n'avez pas réussi à obtenir la construction de la perception à Tarnos !
Une des deux « petites »

Monique Bru

J'ai été personnellement très touchée par la grand humanité de Monsieur Maye, et admiratrice pour sa vie militante, complètement dévouée aux autres.
Un grand merci.

Albert Descoutey

Sincères condoléances à la Famille.
Nous regretterons l'Homme de conviction, fidèle à son combat tout au long de sa vie, au service du monde du Travail.
Adieu cher Camarade.

Marie-Claire Arlas

Un grand homme s'en est allé. Les Tarnosiens ne l'oublieront jamais, tant il a contribué au développement de sa ville. Pour avoir travaillé 20 ans à ses côtés, je pleure aujourd'hui l'homme de conviction, sa droiture et son abnégation. Son fort caractère et son charisme nous manqueront.
Mes sincères condoléances à la famille.

Michel Labertit, Ondres

Toutes mes sincères condoléances à ta famille. Merci à toi André de ce que tu m'as appris du dévouement et des luttes pour le bien-être dans la paix.

Iris Cambronero

L'être humain n'est pas éternel mais ton combat et tes luttes pour la justice resteront immortels Camarade André.

Michel Arias, Boucau

Hommage à celui qui, par son charisme et son humanisme a marqué bien des générations.

Véronique Lemonnier

Un communiste qui n'a jamais oublié ses racines, qui a apporté beaucoup à tous ses collègues des Forges de l'Adour en défendant leurs droits de travailleurs, qui a œuvré à la maîtrise du développement de cette belle ville de Tarnos en gardant le cap sur l'humain d'abord, qui a aussi préparé les jeunes générations à prendre la relève. CHAPEAU BAS !

Bernard Largounez, conseiller municipal socialiste de 1977 à 1995

En souvenir de nos batailles communes et aussi de parfois nos différends.

M et Mme Ihuel

En hommage à ce visionnaire je souhaite rappeler sa réponse à la question « Quel avenir pour Tarnos ? » (question posée à la célébration de ses 90 ans en novembre 2010) : « L'avenir de Tarnos, comme celui d'autres collectivités locales, est compromis par la loi réformant les collectivités territoriales. Il faut donc que Tarnos soit animée par le combat. Rien ne sera donné. Le peuple a toujours gagné par la lutte. Il faut continuer ce qui a été entrepris. »

Michel Etcheverry, ancien Secrétaire de l'Union Départementale CGT des Landes

Avec André Maye c'est une figure du mouvement ouvrier qui disparaît. André que la vie n'a pas épargné, c'est battu sans relâche contre tous les adversaires de la classe ouvrière. Que se soient contre les fascistes, avant et pendant la seconde guerre mondiale, contre les capitalistes quand ils ont décidé de fermer les Forges de l'Adour, dans tous les cas André à organisé la lutte sur des positions de classe avec le succès que nous connaissons.
C'était un homme de conviction, sur les grands principes qui faisaient de la CGT notamment, une organisation de masse luttant sur des positions de classe  il ne transigeait pas. Il restera pour moi un exemple.

Danielle Destouesse, Conseillère municipale

Durant toute votre vie vous avez été un combattant pour le progrès, la justice et la paix. Vous espériez des jours meilleurs... Mais la mort vous a emporté pour un dernier voyage. Reposez en paix. La vie ne dure qu'un instant...
Vous resterez pour toujours dans nos cœurs.

Carmen et sa famille

Une grande peine pour ce maire que nous avons aimé et que nous ne pourrons oublier.
Pour tout ce qu'il a fait, merci.
Pour tout ce qu'il a entrepris, merci.

Famille Sarraute

Un hommage des plus respectueux pour ce grand Monsieur qui a tant œuvré pour Tarnos et ses habitants.
J'ai eu la joie de vous connaître en privé dans des moments privilégiés en famille sur Sainte-Marie-de-Gosse. Mon frère vous a enchanté avec son Txistu (pardon je suis une pure Landaise), les basques me pardonneront... si j'ai fait une faute.

Christian Gonzales, Adjoint au Maire de Tarnos

Hommage à un grand militant de la solidarité, un grand bâtisseur, qui nous permet de poursuivre la construction de Tarnos dans l'intérêt des populations.
Sincères condoléances.

M et Mme Charles Sarra

Sincères condoléances à tous ses enfants. Et à toi André, merci pour tout ce que tu as fait en tant que Maire de Tarnos et collègue des Forges de l'Adour. Repose en paix.

Jean-Pierre Crespo, ancien Adjoint au Maire de Boucau

Depuis les combats épiques lors de la reconversion des Forges de l'Adour (il fit parti des 4 ouvriers avec A. Labat, J. Reix et A. Prevot qui resteront "sur le carreau" victime de l'ostracisme des patrons pour leurs engagements syndical à la CGT et politique au Parti communiste), J.A. Maye a été de toutes les batailles pour l'emploi, toujours proche des plus faibles et des plus démunis. J.A. Maye a été un grand maire de Tarnos, ville qui lui doit beaucoup, mais qui ne l'a jamais oublié, témoin la grande fête donnée pour ses 90 ans. J.A. Maye m'avait fait l'honneur de faire partie de son équipe pour les élections municipales de 1983. Salut et respect André.

M. Jean-Louis Dalès

Mes doigts pleurent leur encre rouge...
Rouge comme ce drapeau qui a guidé ses pas...
Rouge comme le sang de mes veines silencieuses en ce triste jour...
L'encre rouge séchera, mais le souvenir, lui, de tant de moments précieux et privilégiés restera à jamais, indélébiles sur mes parchemins secrets.
Condoléances attristées et émues.

Jean Prudet, Boucau

André, ton combat continue. D'autres se lèvent pour le continuer, tu as montré le chemin.
Avec toutes les condoléances d'un "jeune" camarade de Boucau qui a su combien t'apprécier en collaborant avec toi sur des chantiers de notre commune.

Jean-Claude Laurent

Tu n'était pas toujours très pédagogique, moi pas toujours à l'écoute. Toutefois, j'ai beaucoup appris en te côtoyant. Tu peux maintenant te reposer en paix André.

Pierrette et Pierre Leurion-Concaret

Tu ne t'es jamais départi de ton idéal de justice sociale. Tu seras pour nous toujours un modèle.

Jean-Claude et Nicole Serac

Au revoir et merci pour tes convictions et engagements qui ont guidé plusieurs milliers de Boucalais et Tarnosiens.

Alain Bonnecaze, Tarnos

Un grand Maire de Tarnos humble ayant toujours la main tendu pour ses concitoyens, il aura par son action défendu diverses causes sociales et permis le développement de Tarnos. Jean-André, je ne t'ai pas connu en activité mais je t'ai connu en tant qu'homme et tu resteras pour moi un homme de partage au sens humain très développé. Tu as rejoint les grands Hommes.

Isabelle Dufau, élue tarnosienne PS

Respect M. Maye.
Du plus loin que je me souvienne, alors que je n'étais encore qu'une petite fille, je vous vois, écharpe autour du cou ou plus décontracté, au contact des tarnosiens, dans leur foyer, au stade, à la mairie...déjà enfant, pour moi, vous étiez impressionnant !
Grâce à votre vision éclairée et à votre action très déterminée, la ville de Tarnos a su et a pu se développer harmonieusement, respectueuse de son passé ouvrier et volontariste pour un développement local social, éducatif et économique.
La ville vous doit beaucoup, vos éclats, qu'ils soient de voix ou de rire, raisonneront encore longtemps sur beaucoup d'entre nous, toutes sensibilités confondues. Vous resterez un exemple pour tous ces hommes et femmes engagés en politique qui placent l'intérêt général bien au-dessus de l'intérêt particulier.
MERCI ET RESPECT M. MAYE.

Isabelle Larrouy, conseillère régionale d’Aquitaine

Je viens d’apprendre avec tristesse la mort d’André Maye, un de ces hommes qui me permettent de considérer avec respect l’activité politique. C’était un ouvrier, et son action de militant communiste a eu une très grande importance. Tant au niveau international, qu’au niveau de sa région, son département, sa commune et « ses » forges de l’Adour.
Je serai au travail à l’heure de son enterrement. Mais je salue avec respect un homme qui a donné toute sa dignité et sa fierté au mot peuple, et à ses luttes incessantes.

Jacques Corrihons, Secrétaire Général de l’Union Locale CGT Boucau-Tarnos, ancien Secrétaire général de l’Union Départementale CGT des Landes

Son engagement dans le combat syndical et politique a été sans faille et un modèle pour ses camarades pour lesquels il reste un exemple. En effet André fait partie des militants qui ont marqué l’histoire sociale de notre ville et au delà. Il s’est battu pour transformer la société, pour faire avancer ses idées de justice et de partage. Tous ceux qui ont croisé son chemin se rappelleront le militant infatigable, le redoutable débatteur, sa force de conviction. Apprendre, le courage, la dignité, professer la fraternité, les solidarités, il nous persuadait qu'il fallait vivre plus fort, espérer mieux, se battre. Ses mots nous portaient nous rendaient plus mûr. Telle est de lui, en quelques mots, l'image qui nous restera.

Sa voix sera toujours là, en nous, et si par hasard notre attention se détournait elle suffirait, seule, à maintenir nos yeux grands ouvert. Tolérant, ouvert et généreux, il laisse un grand vide dans le mouvement ouvrier.
Merci pour cette leçon de vie.

Jean-Pierre Lagrave, FNDIRP

Toutes mes condoléances à ce grand homme, la FNDIRP, Fédération nationale des déportés, s'incline à sa mémoire.

Mme L. Larrieu

Beaucoup d'émotion.
Beaucoup de souvenirs d'un homme qui a marqué directement l'histoire de la Ville de TARNOS et aussi indirectement celle de Boucau.
Mes plus sincères condoléances à sa famille.

Bernard Lapebie

Fils et petit-fils de forgeron, votre nom faisait partie de la grande famille des ouvriers qui se sont battus pour notre si belle cité.
A titre personnel, je n'oublierai jamais votre venue au domicile de mes parents pour honorer mon grand-père, dernier poilu de Tarnos. Ce moment fut une grande fierté pour l'ensemble de ma famille.
Sincères condoléances.

Francis Dubert

Quel bel engagement de toute une vie au service de ses semblables ! Je garderai en mémoire le souvenir d'un homme fidèle à ses idées, intègre et désintéressé, qui avait su accueillir le jeune instituteur que j'étais en 1980 avec énormément de bienveillance et de gentillesse.
Sincères condoléances.

Françoise Dacharry, Tarnos

Une pensée très forte pour l'Homme, le père et ses deux enfants dont il était si fier...
Mais bien sûr, avec lui, un pan de l'histoire des luttes ouvrières de Tarnos s'en va... Si notre ville est si belle, moderne et solidaire à la fois, c'est grâce à son esprit visionnaire, révolutionnaire qui lui ont permis de se battre face à n'importe quel homme politique ou patron. Aucune compromission chez le militant syndicat et politique quand il s'agissait de défendre les intérêts de la classe ouvrière et aussi de la ville de Tarnos.
Une pensée très forte, aussi, pour ses compagnons de toujours dans les luttes ouvrières de Tarnos et dans l'accomplissement du projet municipal Tarnosien. Je parle de Robert et mon père, Popaul, disparus eux aussi. C'est de ces militants-là que l'on manque cruellement aujourd'hui que cela soit au plan local ou national...
C'est avec un grand respect et affection que je présente toutes mes condoléances à toute sa famille et ses proches.

Famille Soldatoff

Toutes nos plus sincères condoléances avec beaucoup de souvenirs... ainsi qu'avec les Forges de l'Adour, repose en Paix (avec les collègues).
Sincères amitié

Mme Rabat, Présidente du Centre de loisirs de Tarnos

Le Centre de loisirs de Tarnos est orphelin de celui qui fut l'initiateur de sa création voilà plus de 30 ans.
Sincères condoléances et hommages respectueux.

M. Rabat, Principal de collège honoraire

Je garderai le souvenir d'un homme droit, honnête, chaleureux. Mes bien sincères condoléances.

Claude Hégug, Boucau

Merci pour ton action en faveur des gens, tant sur le plan syndical que politique. Repose en paix.

Le personnel de la cuisine centrale de Tarnos

André Maye ayant créé la cuisine centrale et, nous personnel de celle-ci, n'ayant pu assister à ses obsèques pour raison de service, présentons toutes nos condoléances à la famille.

Francis Réal

Le plus profond respect pour un homme juste, droit et humain.
Un homme à qui je dois beaucoup.
Sincères condoléances.

Chantal Lataste

Monsieur Maye, Vous étiez le communicant charismatique de l’histoire de Tarnos,votre histoire... et c’est avec émotion et reconnaissance que j’évoque mes souvenirs professionnels d’assistante sociale : nos échanges que vous avez su rendre faciles, dans le respect mutuel, votre volonté de toujours faire mieux, les résurgences de votre humour latent...
Au revoir Monsieur Maye et merci.