La transition écologique passe parfois par des réalisations visibles et/ou impressionnantes, comme la mise en place de panneaux photovoltaïques sur les toits de salles et structures municipales. Mais pas que !
- Paillage systématique de massifs avec des produits d’origine végétale (paillis) ou minérale (pouzolane d’origine volcanique) pour limiter la pousse des adventices.
- Mise en place d’écopièges pour capturer les chenilles processionnaires du pin.
- Fabrication et installation de nichoirs pour favoriser la reproduction de certaines espèces d’oiseaux dites « cavernicoles » comme la mésange charbonnière, la mésange bleue, la mésange huppée ou la huppe fasciée. Tous ces oiseaux consomment de grandes quantités de chenilles processionnaires.
- Nouvelle adaptation du fleurissement sur la ville : ainsi l’utilisation de plantes vivaces est privilégiée, plutôt que les fleurs annuelles, plus consommatrices en eau et autres fertilisants. Pour les mêmes raisons, le fleurissement en pots suspendus est, depuis 3 ans, sensiblement diminué.
Mais rassurez-vous, certains massifs seront maintenus ! - En adoptant la « gestion différenciée », la Ville adapte l’entretien de chaque site au niveau de fréquentation du public, de ses attentes, du degré de naturalisation, des coûts d’entretien... C’est ainsi que certains espaces, assez naturels, sont tondus 2 à 3 fois par an quand d’autres le sont entre 15 et 20 fois.
- Les prairies fleuries sont implantées en périphérie de la ville et favorisent ainsi la biodiversité en restaurant les équilibres écologiques (en parallèle, diminution des fréquences d’intervention).